Synopsis
1949. Brother Jean, a progressive teacher and passionate amateur archaeologist, plans to conduct excavations with his students in order to prove the presence of a Viking settlement along the shores of the St-Lawrence River.
2020 ‘Le club Vinland’ Directed by Benoît Pilon
1949. Brother Jean, a progressive teacher and passionate amateur archaeologist, plans to conduct excavations with his students in order to prove the presence of a Viking settlement along the shores of the St-Lawrence River.
Ode à l’enseignement, à la transmission, à ce qu’on en retient, au temps qui passe, à notre héritage autant collectif qu’individuel.
Benoit Pilon réalise ici un film qui n’est pas sans rappeler À tous ceux qui ne me lisent pas, mais avec une approche sobre et classique (des beaux moments de caméras parsèment le film). Or, le film se perd un peu dans ses élans de The Dead Poet Society, sans jamais vraiment se consacrer pleinement à son sujet.
Interprétation solide de Sébastien Ricard, et la musique convaincante de Pierre Lapointe est tout à fait en adéquation avec l’aspect classique du film.
Bref, simple, efficace et porteur d’espoir.
L’antithèse de Mon cirque à moi.
Imaginons, pour un instant, que le Cinéma Beaubien rouvre après la pandémie et fait tellement d’argent qu’il grossit à vue d’œil. Son influence est telle que le cinéma ne peut se contenter de simplement diffuser des films; le cinéma grossit et saisit les moyens de production. Il devient une plateforme internationale de distribution et de diffusion, que tout le monde a chez eux; il devient synonyme de contenu audiovisuel. Les gens se demandent si un film ou un tel autre film est disponible sur Beaubien; Beaubien 'n chill deviens un passe-temps favori des gens. Le Beaubien a maintenant les moyens de financer ses propres productions — des productions à l’image de ce qu’ils pensent que leur public fidèle désire voir.
C’est ben de valeur que Le club Vinland existe déjà parce que ce serais un EXCELLENT choix de production maison pour le Beaubien.
On s’entend que ma grand-mère est le public cible, mais je suis pas mal sûre que le frère Jean pogne avec tous les âges.
J'ai attendu pendant deux heures que ça devienne une histoire de prêtres pédophiles, mais ce n'est pas arrivé : rafraîchissant. Par contre, le fim lui-même ne sait pas où il s'en va et quelle histoire il devrait raconter. Bref, on aime les paysages et la photographie en général, mais on reste sur sa faim. Est-ce que Pierre Lapointe sauve le film avec sa trame sonore à mi-chemin entre celles du « Fabuleux destin d'Amélie Poulain » et des « Choristes » ? Non.
La réalisation est plutôt le fun dans les paramètres de ce genre de film, la direction photo est très bien, ça a pas peur d’essayer des trucs super expressifs. J’ai eu des feels.
Ricard est très bon, Thauvette aussi, y’a quelques accrochages dans les autres performances, quelques scènes moins réussies mais somme toute, ça marche.
C’est juste plate que le scénario était déjà pas mal connu dès les premières minutes, ou dès que t’as vu la version avec Robin Williams. Pis la ligne “ses méthodes sont peu orthodoxes, mais il obtient des résultats”, je l’accepte juste dans Mission Impossible ou James Bond, pis malheureusement pas dans la bouche de Rémy Girard.
Mais bon, j’ai passé un bon moment en famille, avec mes parents qui avaient évité le cinéma depuis la Covid et qui ont versé quelques larmes. Faque merci.
Un film de curés, ça partait avec 2 prises. Finalement, c’est vraiment pas mauvais, mais c’est beaucoup trop l’archétype du film « cinéma québécois ». Je lui donne donc une note archétype des trois étoiles et demie.
Des paysages magnifiques, une twist intéressante, mais cependant plusieurs longueurs viennent parsemées Le club Vinland.
Le film est pas inintéressant, mais je suis pas certain que je le reverrais une deuxième fois.
(4) Bon
Illustration originale du combat entre obscurantisme et progrès. Récit bien écrit mais un peu démonstratif. Réalisation soignée, parfois empesée. S. Ricard fébrile et charismatique.
L’AVIS DE MEDIAFILM
L'opposition entre obscurantisme et progrès à l'aube de la Révolution tranquille trouve une illustration originale dans ce nouveau film du réalisateur d'IQALUIT. Bien écrit par Benoît Pilon, Marc Robitaille (UN ÉTÉ SANS POINT NI COUP SÛR) et le nouveau venu Normand Bergeron, le récit se fait toutefois démonstratif par moments et tire en longueur. En revanche, la figure du frère enseignant, un passeur de connaissances naïf mais doué, inspirant et compréhensif, s'avère très juste, et Sébastien Ricard l'incarne avec la fébrilité et le charisme souhaités. Plus prévisible, le parcours du perturbé…
Not good enough, seems very fake and dated and shouldn't have skipped over the subject of abuse